Adoré par les uns pour son caractère provocateur et arrogant, détesté par les autres pour les mêmes raisons, le footballeur du Milan AC s’est laissé aller à quelques punchlines dont il a le secret, autour de sa participation au dernier film de Guillaume Canet.
Zlatan footballeur, Zlatan acteur. Quand le Suédois s’est vu proposer un rôle, sa réaction ne s’est pas faite attendre. Guillaume Canet le rapportait à l’occasion des Rendez-vous du cinéma français d’Unifrance. Lorsque le réalisateur lui a proposé le rôle de bras droit de César, un personnage nommé Antivirus, l’ex-joueur du PSG s’est fendu d’une tirade dont lui seul est capable.
« Comment César peut-il jouer le bras droit de César ? ». Du Zlatan dans le texte. Et à la question de sa rémunération pour sa participation dans le film, le géant suédois a prévenu Guillaume Canet, non sans second degré : « Rassure-moi, tu ne vas pas me payer avec un an de pass au Parc Astérix ? ». Incorrigible Zlatan. Mais c’est pour ça qu’on l’aime. Ou le déteste.